Il est minuit.
Je me suis allongée et je me suis mise à réfléchir à chaque meuble, chaque objet et j'y retrouve leur histoire qu'ils ont eu avec nous.
Au fur et à mesure, les larmes coulaient sur mes joues.
Une douleur forte m'envahie. Et puis, je me rends compte à quel point il me manque, un peu comme un bout de moi même qui m'avait abandonnée mais qui persistait à exister, comme ces "membres fantômes".
La douleur de se sentir seule et de ne pas l'être.
La douleur d'être en manque de l'être cher qui pourtant vit à quelques mètre de nous...
Il est 1h41, je n'ai toujours pas sommeil, "quelle chienne de vie".
Je ne peux que te dire courage choupinette, je suis passée exactement par là il y a un an et demi. On survit.
RépondreSupprimerVas de l'avant, sois égoïste, pense à toi, uniquement à toi, à te faire plaisir !
Bisous
petite pensée puce !
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