samedi 15 janvier 2011

Passez-moi l'expressions

Il est minuit.


Je me suis allongée et je me suis mise à réfléchir à chaque meuble, chaque objet et j'y retrouve leur histoire qu'ils ont eu avec nous.

Au fur et à mesure, les larmes coulaient sur mes joues.
Une douleur forte m'envahie. Et puis, je me rends compte à quel point il me manque, un peu comme un bout de moi même qui m'avait abandonnée mais qui persistait à exister, comme ces "membres fantômes".
La douleur de se sentir seule et de ne pas l'être.
La douleur d'être en manque de l'être cher qui pourtant vit à quelques mètre de nous...

Il est 1h41, je n'ai toujours pas sommeil, "quelle chienne de vie".


2 commentaires:

  1. Je ne peux que te dire courage choupinette, je suis passée exactement par là il y a un an et demi. On survit.

    Vas de l'avant, sois égoïste, pense à toi, uniquement à toi, à te faire plaisir !

    Bisous

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